base antarctique concordia

Le premier hivernage débute l’année suivante où, durant neuf mois, les treize premiers hivernants sont en autonomie totale. Un scientifique publie les photos saisissantes de ses repas figés par la glace. Concordia est une base de recherche polaire franco-italienne implantée en Antarctique. Pascal Bordais : informaticien / transmissions, électronique scientifique. Dennis Appere : glaciologie, chimie atmosphérique. L’esa-médecine[pas clair] étudie aussi l’hypoxie d’altitude, la déshydratation (paradoxale sur 3 000 m de glace ! Concordia. Frederic Sergent : responsable technique. Station Concordia et les installations du programme d'astronomie australien AASTINO (Automated Astrophysical Site Testing Invincible Observatory), Dôme C (Antarctique. Après plusieurs campagnes « ballons », un télescope DIMM (Differential Image Motion Monitor) fut d’abord installé en décembre 2002, toujours pendant l’été austral, et des mesures sont faites de jour sur l’étoile Canopus[réf. Lorenzo Moggio : physique de l'atmosphère. Pour pouvoir tirer profit de cette qualité optique exceptionnelle, les télescopes devraient directement être installés à 30 m (ce qui est techniquement faisable). Avec la base américaine Amundsen-Scott au pôle Sud et la base russe Vostok, Concordia est l’une des trois stations à l’intérieur du continent antarctique à fonctionner toute l’année. Jean-Louis Duraffourg : cuisinier intendant. Les balises GPS permettent, avec celles de la station. Michel Munoz : chef de mission, plombier-chauffagiste. Au-delà de cette valeur scientifique, Concordia remplit un rôle géopolitique important en confortant la présence française en Antarctique et en en faisant l'un des principaux acteurs de la recherche scientifique sur le 6ème continent. La mission Concordia, composée d'une équipe de 13 Français et Italiens appartenant à des domaines scientifiques variés, va passer toute une saison d'hivernage dans l'Antarctique pour mener ses expériences. La base a connu les visites officielles notables de Michel Rocard (alors ambassadeur des pôles) en 2012 et de la ministre de la recherche en exercice, Frédérique Vidal, en novembre 2019 (accompagnée d'Antoine Petit et de Jérôme Chappellaz)[4]. Les personnes doivent sortir au minimum à deux, équipées de radio, de piles de rechange et bien évidemment d’une combinaison polaire intégrale où seuls les yeux dépassent, parfois… Le glaciologue italien Emanuele Salvietti doit effectuer des échantillons de neige tous les jours à un kilomètre de la station. Dans le cadre du programme européen de recherche EPICA, le site du Dôme C a été choisi car les strates de glace ne s’y sont que peu déplacées et des carottages y sont effectués dans la calotte glaciaire. Seule la mission spatiale Stardust avait rapporté des poussières de comètes très similaires mais à très petite échelle[15]. Ces campagnes ont permis d'identifier deux nouvelles familles de micrométéorites et notamment, en mai 2010 dans le cadre du projet ORIGINS (Elucidating the origins of Solar System(s): anatomy of primitive meteorites), les micrométéorites ultra-carbonées (UCAMMs, Ultracarbonaceous Antarctica Micrometeorites). nécessaire] en parallèle des mesures des ballons-météo. GLACIOCLIM a pour but de constituer une base de données glacio-météorologiques sur le long terme. Les hivernants de la station franco-italienne Concordia, située sur le site du Dôme C au cœur du continent Antarctique, sont en plein hiver austral et peuvent observer la voie lactée dans des conditions idéales. La station Concordia est située à 1 108 km de la base française Dumont-d’Urville et à 1 670 km du Pôle sud géographique. Le programme NITEDC était destiné à l'étude des effets post-dépôts du nitrate en utilisant sa composition isotopique en oxygène et en azote. L’Antarctique; L’Arctique; Les Subantarctiques; Biodiversité polaire; Accueil » Concordia. On s’aperçut notamment que tous les jours en fin d’après-midi, la couche turbulente « disparaissait » donnant lieu à une qualité optique de l’ordre de seulement 0.3″~0.4″ qui peuvent être qualifiés d’exceptionnels[réf. La base antarctique Concordia est une station de recherche permanente franco-italienne en Antarctique au Dôme C sur le Plateau Antarctique. Coline Bouchayer : glaciologie, chimie atmosphérique. celle utilisée durant l’été et qui peut héberger une soixantaine de personnes ; deux bâtiments d'hiver où peuvent résider en totale autonomie durant neuf mois une quinzaine de personnes. Visite en vidéo de la station franco italienne Concordia située au coeur du continent Antarctique Ce projet prend le relais du projet Concordiasi (IPEV 914) pour l’IR et la modélisation météorologique et constitue le volet « terrain » de la partie « Incertitudes » sur les processus de bilan de masse de surface du projet européen FP7 Ice2Sea démarré en 2010. Il s’agit du volet antarctique de l'Observatoire de Recherches en Environnement (ORE) GLACIOCLIM, destiné à détecter, surveiller et comprendre l'évolution du climat en milieu glaciaire. Les compositions isotopiques résultent du mode de formation de la matière et portent de fait une information de qualité sur les mécanismes d’oxydation et sur l’identification et l’importance des sources des précurseurs. Une des implications est de mieux comprendre l’incorporation et le dépôt des impuretés dans les carottes de glace au Dôme C.[réf. En 2002-2003, une équipe australienne menée par John Storey installa une station de mesure autonome (AASTINO) composée d’un MASS-DIMM et d’un sodar (mesures par ondes acoustiques). ), Formation continue tout au long de la vie, Orientation dans l'enseignement supérieur, Parcoursup, la plateforme d'admission dans l'enseignement supérieur, Déploiement des parcours de réussite dans l'enseignement supérieur, Établissements publics à caractère industriel et commercial, Établissements publics à caractère scientifique et technologique, Délégations régionales à la recherche et à la technologie (D.R.R.T. Jonathan Zaccaria : radio, informaticien, support scientifique. Seule station européenne au cœur du continent antarctique, elle a pour vocation majeure d'offrir à la communauté scientifique un accès au haut plateau antarctique. L’article conclut de manière très (trop) optimiste que la qualité optique en hiver était inférieure à 0.3″, mais sans préciser que les deux instruments déployés n’étaient pas sensibles aux premières dizaines de mètres de la couche turbulente. ), Diplôme de géomètre-expert foncier délivré par le Gouvernement (D.P.L.G. ), Énergie, développement durable, chimie et procédés, Encadrement réglementaire des pratiques de recherche, Utilisation des animaux à des fins scientifiques, Échantillons biologiques humains destinés à la recherche, Utilisation de ressources génétiques ou de connaissances traditionnelles associées, Sociétés d'accélération de transfert de technologies (SATT), Consortium de valorisation thématique (C.V.T. L’évolution des glaciers est l’un des indicateurs importants sélectionnés par le Groupe Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (IPCC) pour situer la variabilité et les tendances climatiques au cours du dernier siècle. Jean-François Vanacker : chef de mission, radio. nécessaire]. Ales Rybka : recherche biomédicale, médecin. Les Basler viennent quant à eux de la base antarctique McMurdo pour le transport des personnes et du matériel. La base Concordia est localisée au Dôme C, sur le plateau de l’Antarctique, à plus de 3 000 mètres d’altitude. Elle est située sur le dôme C, l'un des endroits les plus hauts en Antarctique (3 233 m d'altitude), et à 1 100 km de la mer (plus que la distance entre Brest et Strasbourg). Paride Legovini : physicien, technicien électronique des sciences. Le voyage de retour ne se fait pas à vide, car il transporte, entre autres, les déchets de la station et les matériels à retourner vers l’Europe. Le LGGE est donc l’un des principaux laboratoires à exercer en Antarctique et notamment sur le site du Dôme C. C’est une unité mixte de recherche du CNRS et de l’université Grenoble-Alpes. Stijn Thoolen : recherche biomédicale, médecin ESA. Filippo Cali' Quaglia : sciences de l’atmosphère et du climat, entretien météorologie. D onnées C limato Base climato/pluvio Mes relevés journaliers Analyses mensuelles Requêtes climatologiques C artes A rchivées Archives Tn, Tx, RR 1881-1999 Archives complètes horaires 1975-2012 Réanalyses NCEP 1871-2011. Dans cette optique deux plateformes en bois en forme d’arche furent installées pendant la campagne d’été 2003-2004 (hauteur de 8 m) et un DIMM placé sur le toit de la base en 2005 (hauteur de 20 m). Le quatrième hivernage se déroula de février 2008 à novembre 2008 avec une équipe d’hivernants composée de treize personnes (sept Français et six Italiens) : Le cinquième hivernage se déroula de février 2009 à novembre 2009 avec une équipe de douze personnes (huit Français, trois Italiens et un Britannique) :[réf. Le premier hivernage débuta à la mi-février 2005 avec treize hivernants (onze français et deux italiens)[19] : En septembre 2005, la température la plus élevée a été de −48 °C avec une moyenne en août de −60,2 °C et un record de −78,6 °C le 1er septembre[20]. Les deux tours de la base sont en cours de construction à cette époque, les hivernages ne sont toujours pas envisageables et chaque été jusqu’en 2005, ces mesures de turbulence sont sans cesse complétées et améliorées. Ce domaine de recherche est communément appelé « qualification de site astronomique ». Julien Moyé : glaciologie, chimie atmosphérique. Russia's … Wenceslas Marie Sainte : électronician for science (electro-science). nécessaire], Le but de SUNITE DC est de documenter et d’utiliser les anomalies isotopiques des oxyde-anions (sulfates et nitrates) pour contraindre les sources, transformations et transports de ces composées vers les régions polaires où ils sont archivés sur des milliers d’années[pas clair]. EPICA était un projet multinational (Belgique, Danemark, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Norvège, Suède, Suisse et Royaume-Uni) pour des forages profonds en Antarctique. Paul Serre : glaciologie, chimie atmosphérique et maintenance météorologie. Les bâtiments d'été sont opérationnels en 1997 avec la réalisation du forage EPICA. Ces ballons sont équipés de capteurs de température et de vitesse du vent qui permettent, après analyse, de déduire la quantité d’énergie turbulente in situ aux diverses altitudes (CT2). Claire Le Calvez : responsable technique, ingénieur épuration eaux usées. Elle permet la réalisation de programmes de recherche et d'observation uniques dans de nombreux domaines scientifiques et technologiques (glaciologie, physique et chimie de l'atmosphère, astronomie, géophysique...), dont bon nombre en lien avec les changements climatiques. Deux tours blanches, hautes de trois étages, aux fenêtres bordées d’orange, posées sur six pilotis et reliées par un … Luca Ianniello : technologies de l'information et des télécommunications (ICT). nécessaire]. La TGIR inclut également l'environnement logistique nécessaire à l'approvisionnement de la station : le navire L'Astrolabe, la … 13 personnes (six Français, six Italiens et une Autrichienne) constituèrent l'équipe du quatorzième hivernage : 13 personnes (cinq Français, six Italiens, une danoise et une australienne) constituent l'équipe du quinzième hivernage : 12 personnes (sept Français, quatre Italiens et un Néerlandais) constituent l'équipe du seizième hivernage : 12 personnes (cinq Français, six Italiens et un Britannique) constituent l'équipe du dix-septième hivernage : Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La TGIR inclut également l'environnement logistique nécessaire à l'approvisionnement de la station : le navire L'Astrolabe, la base annexe de Cap Prudhomme et les moyens de transport terrestres. Caroline Jullian : chimie de l’atmosphère. Un fondoir doté d'un filtre permet de collecter des poussières provenant de blocs de neige extraits d'une tranchée dont la profondeur permet de trouver des neiges tombées avant la construction de la station. La durée moyenne d’un vol entre ces stations est d’environ quatre heures[9]. En 1993 l’Institut polaire français - Paul Émile Victor (IPEV) et italien Ente per le Nuove Tecnologie, l'Energia e l'Ambiente (ENEA) signent un accord visant à la construction d’une telle station et les travaux débutent deux ans plus tard[1]. Bien que l’intérêt du site pour l’astronomie soit reconnu par la grande majorité des astronomes (longues périodes nocturnes, stabilité et pureté de l’atmosphère, excellente qualité optique au-delà de 30 m de hauteur), une certaine confusion régna vers 2005. Bruno Limouzy : chef centrale électrique. Ils sont sur trois niveaux et reliés par une passerelle couverte au premier niveau. C'est à partir de 2005 et le tout premier hivernage de la Station Concordia que des mesures de turbulence sont effectuées systématiquement y compris durant la nuit polaire australe. Floris Van den Berg : recherche biomédicale, médecin ESA. François Jeanneaux : ingénieur opto-mécanicien, astronomie. ), Diplômes comptables supérieurs (D.C.G., D.S.C.G., D.E.C. ), Diplôme universitaire de technologie (D.U.T. Concordia research station in Antarctica is located on a plateau 3200 m above sea level. Une station météo enregistre en permanence : La station sismologique a parfaitement enregistré le séisme de Sumatra-Banda-Aceh. Vitale Stanzione : glaciologue, chef de mission. La TGIR comprend la station elle-même ainsi que  la chaîne logistique associée  pour l'acheminement du matériel, des chercheurs et des personnels sur la station. Ces deux détecteurs se trouvent dans un cryostat permettant de refroidir le capteur d’infrarouges à près de 25 K et le capteur d’infrarouges moyens à 5 K grâce à un compresseur à hélium 4, et maintenus à une pression d’environ 10−7 mbar.[réf. Dans ce cadre, nous proposons la mise en place de trois stations de mesures en régions subantarctique et antarctique afin de documenter et surveiller les variations atmosphériques du mercure dans les régions reculées de l’hémisphère sud et de travailler sur la réactivité très mal connue, les cycles, les dépôts et la réémission en Antarctique.[réf. Active depuis 1997, elle permet l’hivernage depuis 2005. souhaitée], GLACIOCLIM, Les GLACIers, un Observatoire du CLIMat, est un service d’observation de la thématique « Océan-Atmosphère » portant sur l’étude des Glaciers et du Climat. nécessaire], GMOStral découle d’une initiative lancée par le programme européen GMOS (Global Mercury Observation System) dont le but premier est de coordonner un réseau planétaire d’observations du mercure atmosphérique. Il consiste à mesurer plusieurs paramètres caractéristiques de la turbulence atmosphérique dont la qualité optique, l’échelle externe, le temps de cohérence, l’angle d’isoplanétisme, etc.[réf. Bienvenue à Condordia, base scientifique. A place of extremes, temperatures can drop to –80°C in the winter, with a yearly average temperature of –50°C. Cette information peut être reconstituée à partir des carottes de glace et devrait permettre d’accéder à l’activité chimique passée de l’atmosphère en lien avec les changements climatiques. L a base franco-italienne Concordia est installée sur le site du Dôme C en Antarctique (75°06'S et 123°20'E), à 3233m d'altitude, sur une surface très plane, dépourvue de crevasses. Elles sont également importantes pour les services d’observations atmosphériques comme celui qui documente le cycle du soufre et sa réponse via le phytoplancton de l’océan Antarctique au changement climatique global (CESOA) ou encore le futur observatoire arctique où les bouleversements du changement climatique sont actuellement les plus visibles. Les résultats firent apparaître une qualité optique médiane de 1.2″. Les miroirs M2/M3 et leurs systèmes de pilotage ont été réalisés par l’université de Grenade et le IEEC de Barcelone. Vivien Koutcheroff : responsable technique et plombier. Les premières observations indiquent que l’essentiel des turbulences se situent dans une couche d’air proche du sol ne dépassant pas 30 m d’épaisseur en moyenne. Elle se trouve à 1 100 km de la base française côtière Dumont d’Urville, située en Terre Adélie. En 1982, la France émet l’idée d'établir une base permanente sur cette zone avant d'être rejointe dans ce projet par l’Italie quelques années plus tard. Équipements technologiques spéciaux notamment pour leur résistance au froid extrême : par exemple, les panneaux de construction de la station sont brevetés pour leur résistance thermique sur des variations de −80 °C à 20 °C ; le site est garanti pour 30 ans. Albane Barbero : glaciologie, chimie atmosphérique et maintenance météorologie. Alessandro Mancini : informaticien, télécommunications. La rotation du miroir M3 permet d’envoyer le faisceau sur l’un des deux foyers Nasmyth ou se trouvent les instruments d’observation. L'éloignement de la station des activités humaines, son épaisse calotte glaciaire qui l'isole du sol continental et son climat exceptionnel (froid, vent catabatique...) font de Concordia un site remarquable pour rechercher et extraire des micrométéorites. Principales bases antarctiques en activité. Igor Petenko : science de l’atmosphère et du climat. Photos : ©Julien Moyé et Thibault Gillet. La base antarctique Concordia est une station de recherche franco-italienne permanente installée au Dôme C, sur le Plateau Antarctique. Ingénieurs et personnels techniques de recherche et de formation I.T.R.F. 23 février 2015. La station la plus proche est Vostok à environ 550 km. Les trois mois de nuit polaire et la position à 3 233 m d’altitude offrant une atmosphère très pure et un ciel dégagé plus de 80 % du temps font de Concordia un lieu d’observation privilégié. Projet initié en 2002; IRAIT est un télescope (monture Alt-Az) avec un miroir primaire (M1) de 80 cm de diamètre et d'une focale de f/20 conçu pour observer le rayonnement infrarouge par l'université de Pérouse. mais l’atmosphère est très sèche), la nuit en continu de mai à août (perturbation des rythmes circadiens, lumière artificielle en permanence), le froid sec, etc. (pointer une base pour afficher son nom) Base Emplacement Fuseau horaire Occupation Piste d’atterrissage Nom Code UN-LOCODE Pays Situation Latitude Longitude Altitude Depuis Hivernants Estivants Aboa: AQ-ABA: Finlande: Terre de la Reine-Maud: 73°03′ S 13°25′ O: 400 m 1989: n.d. 20 Almirante Brown Argentine: Baie du Paradis: 64°53′ S … ), Énergie, développement durable, chimie et procédés, Encadrement réglementaire des pratiques de recherche, Instituts de recherche technologique (I.R.T. De telles dimensions permettent d’envisager une structure plus haute supportant les appareils d’observation et leur permettant de disposer d’une, Elucidating the origins of Solar System(s): anatomy of primitive meteorites, Ultracarbonaceous Antarctica Micrometeorites, « Brûlures sur les joues et cils collés à l’objectif du, Publications of the Astronomical Society of the Pacific, Institut polaire français - Paul Émile Victor, Institut des géosciences de l’environnement, « Expédition d'une ministre en Antarctique », Portail des Terres australes et antarctiques françaises, Portail des sciences de la Terre et de l’Univers, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Base_antarctique_Concordia&oldid=179422524, Localité dans les Terres australes et antarctiques françaises, Page avec coordonnées similaires sur Wikidata, Article contenant un appel à traduction en italien, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article contenant un appel à traduction en espagnol, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Terres australes et antarctiques françaises/Articles liés, Portail:Sciences de la Terre et de l'Univers/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Avec la … Shaun Deshommes : chef technique, centrale électrique. Enfin, la station Concordia est un site idéal pour la validation des données satellitaires sur le plateau antarctique.[réf. Laura Genoni : glaciologue, climatologie. La chaleur produite par les compresseurs d’AMICA et de CAMISITIC est récupérée pour chauffer le laboratoire d’astronomie à l’aide d’un circuit au glycol conçu par l’IPEV. Les télescopes DIMM mesurent les effets cumulés de la turbulence à l’altitude où ils sont placés. L’évaluation de ces données a permis d’obtenir des informations sur la variation naturelle du climat et les mécanismes d’un rapide changement climatique durant la dernière ère glaciaire. En raison de leur faible capacité, les Twin Otters assurent principalement le transport des personnes. Des chercheurs de l'équipe d'Astrophysique du solide du Centre de spectrométrie nucléaire et de spectrométrie de masse (CSNSM) ont initié un programme de collecte à cet endroit. Anne-Marie Courant : chef de mission, médecin. Trois composantes forment ce SO : GLACIOCLIM-ALPES, GLACIOCLIM-ANDES et GLACIOCLIM-ANTARCTIQUE. Nadja Albertsen: recherche biomédicale, médecin ESA. Le premier instrument d’observation AMICA (Antarctic Multiband Infrared CAmera) est un instrument constitué de 2 détecteurs C-MOS : un pour l’infrarouge proche et un autre pour l’infrarouge moyen (et d'un jeu de filtres) conçu par l’INAF (observatoire de Térame (it)) à partir de 2005. Le sixième hivernage se déroula avec une équipe de treize personnes (six Français, six Italiens et un Tchèque)[24] : Le septième hivernage s’est déroulé avec une équipe de 14 personnes (six Italiens, sept Français et un Britannique)[25] : Le huitième hivernage s’est déroulé avec une équipe de 13 personnes (quatre Italiens, sept Français, un Russe et un Britannique) souhaitée]. Deux grandes zones d'habitation existent : Les bâtiments d'hiver ont une forme polygonale à dix-huit côtés et montés chacun sur six pilotis qui montent ou descendent grâce à des vérins hydrauliques pour compenser les variations du niveau du sol gelé. La base antarctique Concordia est une station de recherche franco-italienne permanente installée au Dôme C sur le Plateau Antarctique, dans le Territoire antarctique australien. Base antarctique Concordia La base antarctique Concordia est une station de recherche franco-italienne permanente installée au Dôme C sur le Plateau Antarctique, dans le Territoire antarctique … Le programme réalise un suivi du DMS, des aérosols soufrés, de l’ozone et des gaz acides contenus dans l’atmosphère au Dôme C. Ce programme s’applique également à comprendre et caractériser les relations entre la chimie et la dynamique atmosphérique sur le haut plateau antarctique à la station Concordia. Jean-François Vanacker : chef de mission. Le centre technique se trouve juste à côté des bâtiments d'hiver, relié à ceux-ci par un autre tunnel. De telles dimensions permettent d’envisager une structure plus haute supportant les appareils d’observation et leur permettant de disposer d’une qualité optique proche de celle de l’espace[réf. Nicholas Smith : recherche biomédicale, médecin ESA. Cet instrument est constitué d’une matrice de bolomètres permettant d’observer le rayonnement infrarouge lointain (à des longueurs d’onde de 200 et 350 µm). Les données permettront de mettre en œuvre et valider les modèles atmosphériques régionaux et mondiaux dans l’optique de motiver et orienter les futures réglementations concernant ce polluant global. Cette valeur est meilleure que dans les meilleurs sites astronomiques actuellement exploités (en particulier celui du Mauna Kea à Hawaï). La logistique est primordiale dans cet isolement total : carburants et centrale énergétique, eau, traitement des eaux usées, médecine du froid et vêtements, alimentation… : tout sauf l'oxygène relève d'une expédition extra-terrestre. Cette approche intégrée associe souvent mesures de terrain en Arctique (OASIS) et en Antarctique (IPEV), études en laboratoire et simulations numériques. Simone Chicarella : électronicien, chef de mission. Evangelos Kaimakamis : recherche biomédicale, médecin, ESA. En 2008 le CEA/SAP (Service d’Astrophysique du Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives) s’ajouta aux collaborateurs en développant un deuxième instrument : CAMISTIC (Caméra Infrarouge Submillimétrique pour l’Antarctique). Sebastien Aubin : glaciologie, chimie atmosphérique. Un convoi (à vocation scientifique) partant de la base antarctique Concordia et à destination de la base antarctique Vostok fut effectué pour la première fois entre le 20 décembre 2011 et le 3 janvier 2012[10]. Seule station européenne au cœur du continent antarctique, elle a pour vocation majeure d'offrir à la communauté scientifique un accès au haut plateau antarctique. la chaufferie qui réutilise la chaleur produite par la centrale électrique ; la réserve d’eau potable, assurée par un fondoir ; l’unité de traitement des eaux usées qui a pour objectif de recycler plus de 90 % des. Bruno Epifania : informaticien, télécommunications. Ce projet prend le relais du projet Concordiasi (IPEV 914) pour l’IR et la modélisation météorologique et constitue le volet « terrain » de la partie « Incertitudes » sur les processus de bilan de masse de surface du projet européen FP7 Ice2Sea démarré en 2010.[réf. L’hiver suivant en 2004, malgré des difficultés techniques qui causeront l’arrêt des instruments au mois d’avril 2004 (prémices de l’hiver austral), des mesures de turbulence furent effectuées[13]. La construction de la station d'hiver débute en 1999 et se termine en 2004[2]. Vivien Koutcheroff : plombier chauffagiste. Enfin l’activité des microbes dans la neige est explorée car ayant des conséquences importantes sur le cycle de certaines espèces comme les composés azotés ou encore des contaminants toxiques comme le mercure. Cécile Lenormant : chimiste, glaciologue. Mario Giorgioni : informaticien, télécommunications. La station Concordia en photo et vidéo. nécessaire]. Sébastien Jullien-Palletier : électrotechnicien. Mario Salza : chef de mission, informaticien, télécommunications. ), Labellisation des structures de diffusion de technologies, Europe et International : consulter toute l'actualité, Mobilité des chercheurs et des enseignants-chercheurs, Travailler dans les institutions européennes, Espace européen de l'enseignement supérieur, Coopération internationale en matière d'enseignement supérieur, Coopération internationale en matière de recherche, Appels à propositions Europe et International, Ressources humaines : consulter toute l'actualité, Retraite des personnels de l'enseignement supérieur, Parcours professionnels, carrières et rémunérations, Stratégie nationale des infrastructures de recherche, Infrastructures de recherche : Sciences du système terre et Environnement, Suivre l'actualité de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, Bourse interministérielle de l'emploi public, Prime d'encadrement doctoral et de recherche, Covid-19 : la recherche française mobilisée, Covid-19 : l'enseignement supérieur français mobilisé, Organismes indépendants et organismes sous tutelle, Système français d'enseignement supérieur, Délégations régionales académiques à la recherche et à l'innovation (DRARI), Notes d'information, Notes flash et chiffres - enseignement supérieur, recherche, Concours national d'aide à la création d'entreprises innovantes, Journées nationales de l'Innovation Pédagogique dans l'Enseignement Supérieur (JIPES), Journées européennes du patrimoine au ministère, Le Plan de Relance pour l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation, Stratégie nationale de culture scientifique, technique et industrielle, Stratégie nationale de recherche en intelligence artificielle, Loi relative à l'orientation et à la réussite des étudiants (loi ORE), Stratégie numérique pour l'enseignement supérieur, Stratégie nationale de l'enseignement supérieur - StraNES. Au beau milieu du continent Antarctique, dans un désert blanc qui s’étend à perte de vue, se dressent deux petites tours. Mais tout a commencé avec le programme EPICA (European Project for Ice Coring in Antarctica). Base Antarctique Concordia. À partir de ce moment, on mesure alors la plupart des paramètres de la turbulence atmosphérique quasi-continuellement. Actualités; Ressources; Photothèque; Vidéos; Blogs; Presse; Info Massimiliano Catricalà : chef de mission, électronicien. Le convoi du retour quitta la base Vostok le 6 janvier 2012 et arriva à Concordia le 25 janvier 2012[11],[12]. Au coeur de l’Antarctique, la base de recherche Concordia accueille treize personnes qui hivernent au pôle sud, le milieu le plus hostile de la planète. Minh-Ly Pham-Minh : chef de l’expédition, médecine opérationnelle. La base scientifique franco-italienne Concordia, sur le plateau de l’ Antarctique, à 3.100 kilomètres d’altitude et à 1.100 km des côtes les plus proches. nécessaire], CESOA vise à étudier le cycle atmosphérique du soufre dans les régions polaires afin de comprendre les causes de sa variabilité inter-annuelle en liaison avec les émissions biogéniques marines de DMS (glace de mer, anomalies de température de surface de l’océan, vitesse du vent, teneur en chlorophylle de l’océan, variabilité climatique liée à l’ENSO) et d’appréhender la réponse future au changement climatique global. La plus proche station Vostok, est à 560 km de distance. Son objectif principal était d’obtenir une documentation complète sur les données climatiques et atmosphériques en Antarctique en forant et en analysant deux carottes de glace pour les comparer avec celles du Greenland counterparts (GRIP et GISP). Andrea Cesana : chef de mission, médecin. L'hiver, les communications avec le monde extérieur se font par liaisons satellite (Inmarsat et Iridium). Le troisième hivernage se déroula de février à novembre 2007 avec une équipe d’hivernants composée de quatorze personnes (huit Français et six Italiens)[23] : La température moyenne est de −65 °C et la température minimale enregistrée est de −81,9 °C atteinte le 5 septembre 2007.[réf. La voie des airs est utilisée par des avions de type Twin Otter et Basler BT-67. Paolo Perfetti : informaticien, télécommunications. Simonetta Montaguti : sciences de l'atmosphère et du climat.
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